Plus que les Champs Élizées ou Londres c'est foule

Le 14 juillet, toute une fête : Enfin du soleil, 23 degrés, le vent est tombé et autant de monde comme ça, nous n'en n'avions jamais vu. Londres, un 14 juillet, plus que les Champs Élizées un 14 juillet !

La journée a commencé par du lichage de vitrine dans le quartier chinois. 

Ne pas arriver avant 11h00, sinon on se bute aux camions de livraison.

Ce quartier est lui-même encastré dans le quartier Soho. Tous les sexes sont présents et s'affirment.

Toute une promenade très agréable!

On visite le quartier français (une rue). Bonne fête les cousins.

Nous voici sur Regent Street (Ste-Catherine en mas forte), où parmi les centaines de magasins (oubliez Dollarama et Le Tigre, mais sans tomber dans les extras de Las Vegas) Ginette trouve un magasin de souliers tous en rouge ! (un peu plus cher que chez nous (1 $C * 1,6 : 1 pound). On attendra.  Quelques achats personnels.



Bon, la mode à Londres : de tout, bien que la londonienne n'est pas très colorée, sauf exception.

Mais, la foule est nombreuse sur Regent Street, partout.

Notre objectif ultime en ce 14 juillet : Assister à la représentation de la comédie musicale Wizard of Oz au London Palladium.  Nous avions acheté nos billets par Internet.  Vers 11h45, on identifie la rue Argyl. Pas évident de se retouver à Londres. Tout est en demi cercle et ceux-ci se recoupent. Le GPS peine à percer les grattes ciels. Beaucoup de discussions.

Après le retour à l'hôtel (1h de marche), nous retournons dîner au parc Russell et découvrons le secteur Brunswick près de la station metro Russell. Enfin une épicerie grande surface. Les prix : Les vins (un peu moins cher) et alcools (même prix). La bouffe : pas vérifier.  

16h30 : On se redirrige (un mille à pied, ça use et salit les gogounes) vers le London Palladium (construit en 1865) en se perdant dans Coven Market. 

Nous voici au Palladium (19h30). Impressionnant. C'est rempli à 80 %. Tout le monde semble connaître l'histoire, chante les refrains, maudit la sorcière et jappe presque avec le chien Toto (tout un comédien). Les décors sont spectaculaires. Bref, c'est too much. On est ému.

À la sortie (22h00), on est envahi par la magie.

Au retour, on s'égare en plein quartier multisexes de Soho (il fait très hot ce soir) et rentre à l'hôtel épuisé, mais bien satisfait. Pas d'énergie pour La Marseillaise, on baisse le drapeau.